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Petit journal d'un pas grand chose.

4 juillet 2010

Et bien oui, elle est superbe en plus de m'avoir brisé le coeur.


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         Petite ruelle simple, qui mène sur la grande place ; la ruelle est vide et terne. Terne, peut-être avec de la vie mais selon moi, elle est terne. Dans les histoires de couple on s’arrête sur la fin, brutalement voir avec séquelle. Mais cela n’a pas foncièrement d’importance dans l’idée, réel, que ce qui est fait est fait. Soulignons quand même, nous hommes, que voir, alors qu’on marche absurdement la ou nos jambes veulent nous emmener, la femme qu’on aime à demie nue sur un tableau publicitaire mais en exalte certains paradoxes, d’une moins pour moi. Le premier étant l’admiration de n’avoir jamais vus sa femme aussi grande et la fierté de ce dire que ses lèvres ainsi misent en valeur pour la populace masculine ont touchaient les nôtres. Le second étant la jalousie, qui est suivit aussi tôt de la haine. Alors comme un gros con on est là ; à ce demander si une masturbation physique public vaut mieux qu’une déclinaison mental camouflée. Logique, basé naturellement sur un certain conformisme, on accepte la déclinaison mentale. Bien que je bande. Alors je me laisse aller simplement à la jalousie et à la déprime, à l’envi de posséder quelque chose qu’y m’est le plus cher et de vouloir être allongé sur elle, à cacher son corps à demie nue. Je marche en évitant de m’attarder sur cette penser, idée saugrenu ! L’idée même de me dire qu’il n’y a aucun problème, me plonge dans des réflexions plus approfondit.

 DAMN.

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11 avril 2010

Louange pour un chef-d'oeuvre.

fleurs

J'aime lire, je tiens certainement de mon cousin. Mais j'aime lire. Des piles de livres un peux partout dans ma chambre, devant, dans les escaliers.. Je passe tellement de temps à acheter et à les lires que j'en oublis jusqu'à même d'acheter une bibliothèque. Hier j'ai décidé de tout ranger, malgré le manque de place. J'ai mis, prés de mon lit les 38 livres entamé et les autre sont tous dans des cartons contre le mur. Pas très pratique j'en conçois. Mais bon.

Un chien a passé la nuit à aboyé et, vous en conviendrez, du céline, proust ou sade à 4h du matin déconcentré ce n'est pas véritablement évident. Alors j'ai relu Des fleurs pour Algernon dans mes autres blogs, bien plus philosophique celui-ci existent en mémoire d'Henry Miller "pour oublier une femme il faut lui dédier une œuvre littéraire", j'ai souvent parlé d'Algernon. Mon cher Charlie, ce livre à révolutionné ma lecture. Je devais avoir 14 ans quand je l'ai lu. Mon savoir ne volé pas très haut et j'avais du lire que du levy. Mais je m'y suis lancé et j'en fus bouleversé. On ne pourra dire le contraire, je le pense, au sujet de ce livre. Révolutionnant notre point de vus sur les personnes souffrant de déficience mentaux, notre point de vus sur l'intelligence et sur ce que tout ce qui s'y rattache. Il aide à prendre la vie comme elle est en ce disant que les choses sont magnifique ou pas. Mais que les choses qu'y existent, existent. Charlie Gordon est un grand nom de la littérature de SF (science-fiction) (ce qui n'en sera pas éternellement).

La fin m'ayant bouleversai, non pas dans le sens sentimental mais dans le sens théorique et réaliste. Bien qu'au départ, je dois l'admettre la première fois, je l'ai trouvé un peux lourd (tout comme barjavel.) La narration lourde par le quotient intellectuel du narrateur mais une chose en amenant une autre les choses ce sont faite naturellement.. Un échiquier voilà, un échiquier qui a était poser sur une table et qui a prit la poussière au fur et à mesure du temps on comprends pourquoi ces pièces on étaient misent en place. Comment des absences, des manquent, des idées, des pleures et des douleurs existent pour une raisons sûr.

C'est drôle la vie, hier encore je pensais que rien avait de sens.

9 avril 2010

Mr. Flan-noix-de-coco

Le soir, c'est plus fort que moi, je ne peux m'empêcher de repenser à elle. Les débuts, vous savez quand tout étaient beau. 

Je me souviens encore du jour de notre ren

P1011719

contre, le 30 septembre. A ce moment là, je n'attendais pas grand chose de la vie, si ce n'est guérir de mes insomnies. Je n'étais pas ce qu'on peut appeler un être "malheureux". Je marchais dans un long chemin l'esprit vide. Les femmes, je les aimaient. Elle partaient, je partais. La vie ce faisait avec son naturel destin. Ce jour là, la pluie tombait abondamment sans pour autant me déranger. Le cul totalement trempé, indifférent à souhait, assit sur les marches de l'opéra, tandis que tous couraient à droite et à gauche jusqu'à ce que la place sois totalement vide, je revenais de chez Paul juste au coin de la rue. 2 flans noix de coco .

Dans ce silence tardif, il y avait une femme au collant. Brune au cheveux attaché avec un caban. Pas plus qu'un mètre soixante six. Dans le noir, je ne pouvais pas vraiment connaitre la couleur de ses yeux. Elle monta les marches et alla ce réfugier dans le petite abri derrière moi. Je l'entendais sangloté; je ne suis pas un samaritain mais elle était jolie et elle pleurait. On étaient seule et j'avais un flan et des mouchoirs..

-Mademoiselle... ?
-LAISSEZ MOI !

Plutôt deux fois qu'une je me rassieds sur les marches et me tût. Puis me relever retournant vers elle et elle ce colla au mur; apeuré. Je lui déposai le flanc au sec à ses côtés. Je connaissais d'expérience à quel point, lorsqu'on est triste, l'envie de sucre.

-Euh.. Hum.. Je ne veux pas vous dérangez. Juste vous nourrir. Si vous avez besoins de quoi que ce sois, moi et mes pensées on est un peux seul assis juste devant là. Enfin .. Bref' j'espère que vous aimez la noix de coco.

Puis je me rassieds. A ce moment là je ne bougeais plus. Je me mis à écouté de la musique :

never say never de the fray. ou encore chocolate de snow patrol

Quand j'y repense je trouve que ces musiques étaient appropriées en avance à cette rencontre. Cela faisait une bonne demie heure maintenant que j'écoutais cette musique en boucle, à penser aux livres que j'avais pus lires ces derniers mois. Je me demandais même si j'avais éteint le gaz. Puis, une main ce posa sur mon bras, les cheveux mouillés qui caressaient ses joues légèrement boursoufflées. Elle avait l'air gênée ce qui était compréhensible vus que j'écoutais de la musique en me disant qu'elle avait des lèvres magnifiques. Sa lèvre supérieur était un peux plus développer que l'inférieur. Ses yeux brillaient de milles beauté, des yeux marron un marron fort, brut :

-Pardonnez moi ?
-Merci .. Pour le flan. Oui, j'aime la noix de coco.
-J'en suis ravis. Sincèrement.

Elle me regarda un temps, sans mot dire. Ce n'étais pas un de ces regards "coups de foudre". J'ai appris, quelques temps plus tard qu'à ce moment là elle avait hésité à partir du à ce silence gêné. Mais à la réflexion elle avait opté pour s'assoir à coter de moi.

-C'est mouillé.
-Quel sens de l'observation.
-C'est vrai, je suis très fier de moi pour ce talent inné.
-Et tu t'appelle ?
-L'homme au flan noix de coco de chez Paul.
-Ça a le mérite d'être recherché !
-Mon père voulait une fille, il avait opté pour Nothomb. Ma mère voulait rien et avait opté pour l'avortement.

Elle ria et n'ajouta rien à ça. Il continuait toujours à pleuvoir.

-Vous voulez un café ?
-Je n'aime pas le café.
-Un chocolat chaud ?
-Je n'aime pas le chocolat chaud..
-Es-ce que vous voulez quelques choses que vous aimez ?
-Et si je n'aime rien ?
-Bien, d'accord je n'insisterais pas. Je vais vous laissez seule. J'espère que vous arrangerez votre souci. Bonne fin de soirée.

Je me levais descendis les marches et partis. Je dois l'admettre, je suis un homme orgueilleux, j'aurais du rester là et  attendre qu'elle ce confit à moi. Un inconnu qui agit de la sorte, qui la drague de surcroit, elle devait ce dire  que je n'attendais qu'une chose. Dans les films, à ce moment là elles disent "Attend !" ou un truc du genre. Là non, rien de ce genre. Je rentrais chez moi. J'y repensais sans y penser. Pas de quoi m'obséder, elle ne connaissait pas mon nom et je n'en connaissais pas plus.


Sur la photo, ont étaient comme le couple en noir et blanc, exactement au même emplacement.

9 avril 2010

La pénitence du bouquiniste.

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Ce matin j'ai été chez un bouquiniste, dés mon entrer je me dirigeais instinctivement dans les romans. Pour le "au cas ou" j'ai toujours une liste de livre à acheter sur moi. Elle m'avait dit, que peux importe où on est il faut toujours savoir qu'on peux ce réfugier dans un livre, que toute l'importance du monde si trouve et que si un jour je n'ai plus la douceur de ses baisées sur ma peau jeunot. Il ne me resterait que les mots, les siens, les miens et ceux de shakespear. Ce que j'ignorais à ce moment c'était l'ampleur véritable de ses mots. Bien que je les buvaient avec attention. En premier lieu, certains le comprendront vu mon état, je me dirigeais vers mon vieil ami Bukowski. Sa prose réveillant chez moi une envi irrépressible de sortir de mon impétueuse stupeur de plus, il arrive à me faire sourire ce salaud. Un particulièrement attire mon attention plus que de rigueur :

Pluie

un orchestre symphonique.
il y a un orage,
on joue une ouverture de Wagner
les gens quittent leurs sièges sous les arbre
s
et se précipitent vers le kiosque
les femmes pouffant, les hommes feignant le calme cigarette mouillées qu'on jette,
Wagner qu'on continue à jouer et tout le monde sous le kiosque. même les oiseaux descendent des arbres
et se réfugient là et puis c'est la Rhapsodie
hongroise n°2 de Liszt, et il pleut toujours, mais voyez,
un homme est assis seul sous la pluie
il écoute. les spectateurs le remarquent. ils se retournent
et regardent.  l'orchestre continue à
joue. l'homme est assis dans la nuit sous la pluie.
il écoute. il doit être un peu dérangé,
vous ne croyez pas ?
il est venu écouter la
musique.

Lequel vais-je prendre : Women ? Pulp ? Journal d'un vieux dégueulasse ? Lequel d'entre eux aurait-elle aimé ?

-Lorsque tu ignore quel livre prendre, prend le temps de lire les premières pages. Si ton esprit ne vagabonde pas. Non sois pas trop fougueux mon tendre.

Bien, Lisant woment et pulp : mais je pensais à elle. Journal d'un vieux dégueulasse resta neutre dans mon esprit. Hop, dans mon sac. Un kafka, Nothomb, André-compte sponville, Céline, Burrought... Dans le haut du rayon, juste là poser comme une évidence devant moi ce trouve son livre mon reflex à ce moment là est complétement absurde. Une rechute honteuse je regardais autour de moi comme si j'aurais été guetté. J'attrapais le livre à deux mains et j'hésitais à la feuilleter. Comme si j'avais, dans mes mains, une partie d'elle. Je fais un peux groupie... Mais ce genre de moment, intense me ramène à ces souvenirs perdus. Sensation de ces souvenirs perdus. Je l'ais déjà pourtant mais avant même que je puisse me rendre compte j'étais à la caisse en train de l'acheter.

La nuit des temps -
Barjavel.


8 avril 2010

La mélancolie du photographe 1/3

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Cette après midi, alors que j'étais dans un état léthargique dans mon lit à réfléchir principalement à : Elle (principalement étant un euphémisme.), je me décidais à aller avaler quelques choses, faisant quelques jours que je n'avalais plus rien il me fallait reprendre des forces au plus vite, je ne pouvais supporter ses tournis et évanouissement plus longtemps. Bien que le placard était plein de bonne chose qui, en tant normal, n'aurait pas tenu aussi longtemps.

 

Je pris un spéculos, un seul, et je remontais dans ma forteresse de solitude. Avant de me rallonger j'aperçus mon appareil photo. Je ne l'avais pas toucher depuis qu'elle n'était plus dans ma vie, comme si chaque photo que je pourrais prendre ne valait pas toutes celles que j'aurais pus prendre d'elle. Son regard, mettre en avant sa peau... Je me levais, à nouveau, difficilement et je pris mon appareil. Pris quelques photos dans le tas, je souriais quand je remarquais que mon appareil était vraiment un bon. Je filais à la douche, m'habillais au plus vite ("au plus vite" pour quelqu'un en dépression signifie très longtemps : Le temps de s'assoir pitoyablement dans la baignoire et réfléchir sur le faite que sa vie est merdique et de prendre le courage de ce laver.) bref'. Je m'habillai tout de même avec élégance. Mon appareil dans mon sac, le courage à deux main. Le fric' dans la poche intérieur. 

La grande place de Lille est toujours aussi belle et beaucoup trop ensoleiller mais garde de son charme. Je montai les marches autour du théâtre et je me mis à prendre des photos. Vite, très vite, je m'ennuyais. Les femmes étaient belle, les hommes amoureux, les vieux mélancoliques et les minettes de 13 ans allumaient tous ce qui bougeaient pour changer. Les allemand(e)s, les anglais(e)s visiter heureuse de voir tout ça. Je m'allongeais (pour ne pas changer) sur les marches. Je devais avoir l'air d'un vieil idiot qui avait fuguait de chez lui.

... : Comment vas-tu ?

Cette voix m'était malheureusement familière. Douloureuse. Dans cette voix, il y avait des souvenirs, des idées, des rires, des pleurs. J'avais mal, mais j'étais incapable d'ouvrir les yeux. Incapable même de bougeait. Ces souvenirs que j'entendais dans cette voix, c'était les miens. Il me fallait lui répondre, jouait les hommes fort ! 

Moi : Plutôt bien, assez fatigué. Mais sinon, ça va. Je ne lui rendit pas la question, égoïstement, j'avais peur qu'elle dise que ça va.

Elle : Bien. Je vois que tu n'as pas vraiment envi de me parler, bonne journée.

-A toi aussi.


Elle s'en alla, sans aucun soupir ! aucun onomatopée de déception ! aucune insistance ! J'entendais le bruit de ses pas. Dans la foule, personne n'aurait pus entendre ce bruit. Ce sons de cette démarche qui lui est propre. Comme si ce sons, parmi ces milliers d'autres, ce démarqué pour moi. 

Quand je suis rentré chez moi, dans une des photos d'essai de lumières, en zoomant. Je l'ais aperçus. La vie est vraiment amusante, je trouve.

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8 avril 2010

Le vieil homme et le Photographe. 2/3

P1011854

Je continuais à baladais dans Lille, la lumière était parfaite. Mon Olympus en main, je photographiais toutes les passantes. Pour l'oublier. Comme si, je voulais attraper la demie seconde de toutes les plus belles femmes pour avoir le plaisir de me dire qu'il y a peut-être mieux. Ce qui es totalement ridicule. Arrivé au gallérie la Fayette, le soleil traversant son plafond laisser un halo de lumière important ou toute les personnes passaient.

Dans un coin, timide et curieux ce trouvait un viel homme. Le regard malicieux et triste peut-être avait-il croisé son chemin. Les gens passaient dans cette halo, beaucoup de jolies filles, certaines malicieuses, ralentissaient au regard de mon appareille feintant le désintérêt. Mais moi, c'était cette homme : Lui. Qui m'intéressait, ce qui m'embêter était de ne pas profiter de la lumière, il restait là à marcher en évitant mon appareil mais à regarder les jolies filles et moi si il l'aurait connut, pour lui aussi elles auraient parut fade.


Moi : Pardonnez moi monsieur.
Vieil homme : Oui ? Ça voix était triste, adorablement triste.
Moi : Pourriez-vous, vous mettre au milieux de la lumière s'il vous plait ?
Vieil Homme : Vous voulez me prendre en photo ?
Moi : Oui.

Je lui posais ma main sur son dos, l'aidant à s'avancer jusqu'à la lumière, en préservant que cette dernière ne lui gène en aucun cas, je l'installais comme j'avais dans l'idée de l'installer et je le photographiais. Encore, et toujours. Une trentaine, sur des points de vus différentes.

Une femme c'était posé contre un mur, accroupis, elle ne comprenait pas l'acharnement que j'avais pour ce viel homme. Moi je le savais, dans ce regard vitreux, terne. Je voyais une femme, celle que j'aimais que je venais de croiser. Celle qu'il avait aimé. Dans ce regard, plus qu'un regard amusé d'être le modèle d'un photographe de vaudeville ce trouvait une femme. Une douceur.


Es-ce qu'on ressent autant sa présence dans le mien ?

7 avril 2010

La pédagogue Italienne 3/3

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A croire que, peut-être cette journée ne ce finiras pas si mal. A la fontaine de la place de l'opéra, je m'y allongé. Abîmant mes yeux fatigués des mes insomnies, je fixais le soleil avec passion. Clignant mille et une fois même si l'idée d'adhérer une nouvelles fois à la tristesse des caprices de l'univers, j'acceptais à me résoudre de fermer mes yeux. Le soleil est si beau et nous, vulgaire humain sommes incapables de l'admirer dans son ampleur véritable. Diantre que la vie est injuste comme mon amour pour elle. Je me laissais bercer pars l'eau qui s'écouler avec dextérité sur elle même. Elle me chantait les louanges, tandis que Morphée attendant mon retour depuis si longtemps qu'il accepta de m'embrasser sur le front.

La nuit n'était pas encore tombée, lorsque je me relevais avec flemmardise. Juste non loin de moi, sur les marches qui donné à la fontaine, une étudiante à peine plus âgée (plus jeune ?) que moi. Un fluo jaune à la main. Des enfants l'entouraient, des petites filles extrêmement concentrés. D'après ce que j'entendais elle avait un accent Italien, un magnifique accent, remettant fréquemment sa mèche. Elle m'observait, me souriant, peut-être avait telle remarquée mon appareil. Je le pris et la photographiais, les enfants ne ce préoccuper pas de moi et elle non plus à partir de ce moment là.

Petite fille : Tu habite ici ?

Italienne : Oui.

Petite fille : Et le monsieur, le monsieur tu le connais ?

A cette instant elle posa son regard dans mon appareil et souris : Oui, je le connais le monsieur.

Je pris mon sac et m'en allas, elle me faisait de la drague et je suis obsédé par elle. Un jour, un jour pourrais-je accepter les avances d'une femme un jour sans me dire "non, elle n'est pas elle". Pour l'instant, je m'en fiche. La question ne ce pose pas. Je passe par le furet m'acheter quelques livres et je rentre chez moi.

Belle journée malgré tout.

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Petit journal d'un pas grand chose.
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